Re-pon-nou est un projet vaste et puissant qui s’adresse à Dieu, ou à son cadavre, et en petit nègre, pour qu’il comprenne mieux. Il s’inscrit entre trois points fondamentaux pour la fondation de la poésie nouvelle qu’on est en droit d’exiger : La REunion, PONdichéry et NOUméa. À partir des ces trois points, entre eux, grâce à eux, nous pourrons réfléchir sur les causes de la mort du genre poésie au 20ème siècle et nous pencher sur quelques urgences impérieuses.
La nouvelle poésie doit prendre le large, celui des hémisphères comme celui des épopées, elle doit s’affranchir des images (visions) précédentes de la poésie qui ne l’ont que trop coulée et cantonnée aux expérimentations ineptes et au lyrisme niais.
La nouvelle poésie doit porter l’époque en accomplissant l’obsolescence de l’homme face aux machines toujours plus magnifiques.
La nouvelle poésie doit inventer les forces qui permettront sa nouvelle profération.
La nouvelle poésie doit prendre le large, celui des hémisphères comme celui des épopées, elle doit s’affranchir des images (visions) précédentes de la poésie qui ne l’ont que trop coulée et cantonnée aux expérimentations ineptes et au lyrisme niais.
La nouvelle poésie doit porter l’époque en accomplissant l’obsolescence de l’homme face aux machines toujours plus magnifiques.
La nouvelle poésie doit inventer les forces qui permettront sa nouvelle profération.
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